Coteau-Malassis

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Compte rendu du 25 juin 2022

Compte rendu du 8 décembre 2021

Histoire du quartier

Place-des-Roses, avenue du Moulin-de-Saquet, allée des Champs-Fleuris, ruelle du Fossé-Vert : les noms de rue évoquent joliment le passé rural du quartier.

Si l'appellation Coteau se comprend aisément, celle de Malassis interroge les historiens locaux. Son sens le plus probable serait celui d'un "lieu mal situé".
Jusque dans les années vingt, le secteur n'est pas urbanisé, hormis des habitations le long du boulevard Lamouroux (boulevard de Stalingrad).

Les vignes couvrent une grande partie du Coteau et le site est connu sous le nom de faubourg Bacchus (rue Jules-Lagaisse). Des chemins sinueux conduisent aux parcelles cultivées, dont le tracé se retrouve dans celui des sentes et ruelles actuelles. À partir de 1895, des carrières de calcaire sont exploitées rues des Malassis, Auber, impasse Boieldieu…

Au début du XXe siècle, les vignobles laissent la place à des pépinières et à des vergers, deux zones pavillonnaires se constituent vers la rue des Malassis et l'avenue du Moulin-de-Saquet. Ailleurs sur le Coteau, des familles très modestes aménagent des habitations précaires, souvent d'anciennes cabanes de jardin, et attendront des années avant de disposer de rues goudronnées et de réseaux d'assainissement promis par des lotisseurs peu scrupuleux.
La ville comptera d'ailleurs six associations syndicales de "mal lotis", particulièrement actives entre les deux guerres.

Aujourd'hui, plus de la majorité des habitations sont des maisons individuelles, même si des immeubles collectifs se sont insérés dans le paysage depuis 2012.

Page publiée le 24 novembre 2021 - Mise à jour le 10 octobre 2022